A LOmbre Des Maris Série 2 Deuxième Partie : Le Mariage De Ghania -2-
Le retour de Ghania avait été pour moi le début dune merveilleuse période de bonheur,
sans la moindre tache. Depuis cette matinée bénie, où je la trouvais assise à son
bureau, le lendemain même de son retour de voyage de noces, jusquà la naissance de sa
(notre) première fille, nous menâmes une vie de rêve : double pour elle, qui était
mariée et qui ne voulait pas que notre histoire soit découverte par Ali, son mari qui
avait une nature plutôt jalouse et parfois violente. Simple pour moi, qui me
comportais avec elle comme un mari fidèle, complètement dépendant delle (je nintègre
pas dans ma « fidélité » les relations torrides que je continuais à avoir
épisodiquement avec la bénédiction de Ghania avec Soraya, mon autre assistante et
son amie.
Ghania acceptait que je poursuive mon aventure avec Soraya presque comme un devoir :
elle disait quelle me devait une « compensation », parce quelle aussi me « trompait
» avec son mari. Dans notre relation bizarre, elle considérait Ali, son mari comme un
amant occasionnel. Cétait moi son vrai mari. Lamour de sa vie. Elle me racontait
parfois comment se passaient ses ébats amoureux avec son époux. Elle maffirmait
peut-être pour ne pas me faire trop de peine quelle ne prenait « quun tout petit
plaisir avec lui ». Rien que pour quil ne soit pas déçu et quil ne se pose pas des
questions - sur elle, dabord et aussi sur lui. Elle ne voulait pas, ajoutait-elle,
«tenter le Diable » et le faire douter de ses capacités en tant quHomme, si elle
refusait ostensiblement de soffrir à lui et à ne prendre aucun plaisir sous ses coups
de reins. Ali était, comme la plupart des hommes, vaniteux et fier de ce quil croyait
être ses énormes capacités sexuelles. Elle ne voulait pas le vexer ou le blesser en le
mettant en face de sa « normalité ».
Elle disait quelle avait beaucoup de la tendresse pour lui et quil lui arrivait en
pensant à tout le plaisir quelle prenait avec moi - déprouver un sentiment de
culpabilité. Cela la poussait à être aux petits soins pour lui elle le traitait,
disait-elle, comme un coq en pâte et quau lit, elle lemmenait, presque toutes les
nuits au septième ciel. Elle ajoutait, comme pour éloigner de moi toute jalousie, que
le plus souvent, elle simulait lexcitation, le plaisir et la jouissance, plus quelle
nen avait réellement. Mais malgré cela, elle disait quelle me devait une
compensation ; et elle était heureuse que cette compensation soit sa fidèle amie
Soraya.
Elle disait quAli navait pas été aussi bien doté que moi par la nature et quil
navait pas mon expérience en tant quamant. Son homme, cétait moi ! Rien que moi !
Inutile de dire que je buvais littéralement ses paroles. Jétais dans un état de
béatitude totale. Ghania naimait que moi ! Et moi, je naimais que Ghania. Nous
avions fait de mon bureau notre nid damour. Il disposait de toutes les commodités
pour rendre nos rencontres confortables : un immense fauteuil en cuir, qui nous
servait de champ de bataille ; un énorme bureau - débarrassé ou pas des dossiers quil
contenait - que nous utilisions souvent pour nos ébats; une petite salle de bain,
dans laquelle nous nous délassions et nous remettions en forme, après nos folles
séances de jambes en lair ; une porte et des murs capitonnés, pour empêcher nos cris
et hurlements dêtre entendus de lextérieur et même depuis le secrétariat ; une
fermeture électrique de la porte daccès qui empêchait tout risque dintrusion
intempestive.
Ce fut une période où Ghania et moi travaillâmes très peu. Ses tâches, à elle, était
assurées - à la perfection - par Soraya. Quant à moi, je ne travaillais que quelques
heures par jours ; toujours très tôt le matin, ou tard en fin daprès-midi.
haïssais les moments où je devais mabsenter pour des réunions à lextérieur ou quand
je devais partir pour des missions qui méloignaient trop longtemps de mon amante.
Aujourdhui encore , quand il marrive dy réfléchir, je me dis que je dois une fière
chandelle à mes collaborateurs directs qui sétaient substitués à moi pour faire
fonctionner la machine. Ils me mâchaient le travail et ne me posaient que les
problèmes quils ne pouvaient pas résoudre à leur niveau.
Il arrivait aussi à Ghania de venir me rejoindre, tôt le matin chez moi et passer
toute une matinée à subir les furieux assauts de mon manche. Une fois rassasiés de
sexe, nous restions allongés dans le grand lit. Elle se blottissait tendrement contre
moi, en quémandant baisers et caresses. Elle repartait au bureau vers treize heures,
après un repas léger quelle préparait rapidement et que nous prenions ensemble dans
la cuisine, comme un vrai couple marié.
Pour me rejoindre le matin dans ma garçonnière, elle navait aucune explication à
donner à son travail (et pour cause !) et, bien entendu, elle laissait son mari Ali
dans lignorance de cette absence du bureau. Comme il avait lhabitude de lappeler
assez régulièrement dans la journée, et quil devait absolument ignorer quelle
nétait pas au bureau, elle avait inventé une histoire assez vraisemblable pour
quil ne lappelle jamais sur lune des lignes fixes du bureau. Elle lui faisait
croire, que par mesure déconomie, jinterdisais au personnel de lentreprise
dutiliser, pour des appels personnels, les lignes fixes du bureau. Il ne lappelait
donc que sur son portable. Et cela ne lobligeait pas à inventer chaque fois un
mensonge pour expliquer son absence du bureau et la mettait à labri des soupçons
quaurait pu avoir Ali qui ne la trouverait pas à son poste.
Nous adorions particulièrement ces moments de plénitude passés chez moi : en moyenne,
deux matinées par semaine.
femme. Et moi qui ne voulais absolument pas entendre parler de mariage (javais eu une
expérience malheureuse dans ce domaine) je voulais que Ghania soit vraiment mon
épouse, et je lui avouais que je regrettais amèrement de ne lavoir pas épousée quand
cétait encore possible de le faire. Elle en riait, persuadée que jamais elle naurait
réussi à me mettre la corde au cou. Elle était suffisamment heureuse comme cela. Tout
ce quelle voulait, cétait que cela dure le plus longtemps possible. Et je lui
promettais que cela durera toute léternité.
/
Sexuellement, Ghania avait toujours été au top. Cétait la sensualité personnifiée.
Elle aimait lamour et était très imaginative. Dailleurs si je devais mettre un
qualificatif sur elle, cétait celui damante extrêmement imaginative. Tellement
imaginative, quelle narrêtait pas de me surprendre et de memmener chaque fois vers
les plus hauts sommets du désir et du plaisir. La première manifestation de son
imagination coquine se passa le surlendemain de son retour de son voyage de noces.
Ce matin là, je recevais dans mon bureau le directeur technique de lentreprise qui
devait me présenter le rapport dactivité mensuelle de sa structure. Nous étions en
pleine discussion, quand Ghania pénétra dans le bureau avec plusieurs parapheurs sous
les bras. Elle contourna le bureau pour se mettre derrière moi et déposer, par dessus
mon épaule gauche, les parapheurs sur la table. Elle ne dit rien et repartit à pas
lents vers la sortie. Mon collaborateur, qui était assis en face de moi, ne pouvait
pas voir Ghania qui sen allait en dandinant du cul de manière impudique ; cétait sa
manière à elle de me dire quelle avait envie de faire lamour. Je ny prêtais pas
attention et la laissai sortir sans rien dire. Je continuais un moment ma réunion et,
machinalement, je soulevai la couverture du parapheur qui se trouvait au dessus de la
pile.
Quelle ne fut ma surprise de trouver, soigneusement étalée sur la première page, une
petite culotte en soie, couleur bordeaux. Heureusement que je navais fait que
soulever discrètement la couverture du parapheur ; si je lavais ouverte complètement,
son contenu naurait pas pu échapper à mon collaborateur, assis en face de moi. Un
court instant, jétais déstabilisé. Je ne savais pas quoi penser et faire. Et puis, un
émoi de plus en plus intense sinstalla en moi. Il se manifesta par une douce chaleur
provenant de mon bas-ventre et qui irradiait sur tout mon corps. Et puis mon sexe se
mit à frémir et commença à se déployer à lintérieur de mon boxer pour atteindre
rapidement sa taille maximale dérection.
Je narrivais pas à chasser de ma pensée la culotte qui était dans le parapheur. Je
voulais len sortir et la tenir dans ma main. Je voulais la porter à mon nez pour la
humer et sentir le merveilleux parfum de la chatte de Ghania. Jétais persuadé quelle
venait de lenlever peut-être même devant Soraya à qui elle ne cachait rien. Et
quelle portait donc le parfum suave de sa chatte ! Javais les narines qui
palpitaient et le rythme de mon cur qui saccélérait. Je navais plus la tête aux
affaires techniques de lentreprise. Je ne pensais quà la culotte. Il fallait que je
la sorte du parapheur. Je trouvais une excuse pour chasser mon collaborateur (je lui
donnais rendez-vous pour laprès-midi, sous le fallacieux prétexte que jattendais un
important visiteur qui nallait pas tarder à arriver). Et avant même quil ne sorte
complètement du bureau, je me précipitai sur le parapheur pour en sortir lobjet de
mon obsession. Je pris fébrilement la culotte et la portai à ma joue pour en ressentir
sa douceur. Et très vite je me mis à la humer, en prenant de longues inspirations. Ce
parfum ! Suave et paradisiaque ! Et tellement aphrodisiaque !
Je bandais comme un âne ! Je voulais prendre immédiatement possession de la chatte qui
avait été enfermée, il avait seulement quelques minutes, dans ce bout de tissu en
soie. Jallais tendre la main vers linterphone pour appeler Ghania, quand celle-ci
pénétra dans le bureau, un sourire moqueur sur les lèvres. La coquine savait quelle
avait tapé dans le mille et que jétais incapable de penser à autre chose quà elle et
à sa chatte.
- Je ne pouvais pas attendre ! Je veux faire lamour ! Cest pour ça que jai
enlevé ma culotte et te lai mise dans le parapheur. Il ne la pas vue, jespère !
- Non il ne la pas vue. Mais il a bien failli la voir. Approche !
Elle contourna le bureau et vint membrasser tendrement sur la bouche. Nous
échangeâmes un très long baiser, qui ne fit quaccen mon désir de la posséder
immédiatement. Sans attendre une seconde de plus ! Jenvoyais ma main droite sous sa
jupe, sachant que jallais immédiatement entrer en contact avec sa superbe chatte.
Elle écarta ses cuisses pour laisser ma main remonter vers son entrecuisse, sans
rencontrer de résistance. Elle alla immédiatement envelopper ses grandes lèvres
pulpeuses et humides. Je les frottais vigoureusement je voulais lui faire un peu mal
pour lui indiquer que jétais le maître des lieux et que sa chatte nappartenait quà
moi. Elle poussa un petit cri de douleur et lança sa main pour attr la mienne et
lobliger à la masturber.
- Dekhal sba3-3ek ! Hek-li souwti! Nik-ni be-sba3-3ek! (Mets-y ton doigt!
Branle-moi la chatte ! Baise-moi avec ton doigt !)
Je ne mis pas un doigt, mais deux ! Le vagin de ma belle coulait déjà comme une
fontaine. Il était si chaud ! Si doux ! Si serré ! Jy allais sans ménagement ! Je
faisais faire à mes doigts des allers-retours de plus en plus rapides et de plus en
plus brutaux. Ghania poussait de petits cris de plaisir. Elle ne lâchait pas ma main
et continuait à lui imposer le rythme quelle voulait. Elle était restée debout à côté
de moi et écartait au maximum ses cuisses pour me faciliter laccès. Elle avait plié
les genoux et semblait avoir des difficultés à garder léquilibre. De temps en temps
elle me donnait un baiser en mobligeant à boire la salive que sa bouche produisait en
grande quantité et qui coulait à flots de la commissure de ses lèvres.
Elle était dans un autre monde. Elle poussait des gémissements de plus en plus sonores
et de plus en plus rauques. Sa main sagrippait à la mienne avec de plus en plus de
force. Elle nallait pas tarder à jouir. Elle me le montrait en forçant ma main à
aller de plus en plus vite et en faisant pénétrer mes doigts de plus en plus profond
dans son vagin. Elle me poussait à aller encore plus vite et plus fort, en hurlant des
« encore !», « plus vite ! », « ouiiii ! », quelle était incapable de retenir.
Puis je sentis sa main qui se crispa sur la mienne, comme si elle était atteinte de
crampes, et elle poussa un hurlement rauque, qui provenait du plus profond de ses
entrailles. Elle se mit à décharger en tremblant et en coulant telle une fontaine.
Elle avait du mal à tenir en équilibre sur ses jambes flageolantes. Elle sagrippait
désespérément à mon cou en laissant couler des flots de salive sur mes cheveux. Elle
jouissait et ne voulait pas que cela sarrête, malgré sa grande fatigue et sa
respiration devenue haletante. Puis, vaincue par la fatigue, elle lâcha ma main et
tomba à genoux devant moi. Jenlevai mes doigts de son vagin et ma main dentre ses
cuisses. Je descendis de mon fauteuil pour me mettre à genoux en face delle pour lui
donner un baiser sur sa bouche et lui murmurer à loreille que jallais la tirer là
debout, penchée sur le bureau, le fesses en lair.
- Rayeh en-nikek bel wegfiya ! Begari! Noudhi wa a3-tili dhahrek ! (Je vais te
baiser debout ! En levrette ! Lève-toi et donne-moi le dos !)
Elle obéit sans rechigner et se mit immédiatement en position. Je navais même pas la
patience dattendre quelle enlève sa jupe. Je me contentais den relever les pans et
de dénuder complètement sa magnifique croupe de jument. Tous ses appâts étaient
offerts à mon regard de satyre vicieux : ses fesses, son anus palpitant et sa chatte
encore dégoulinante de mouille. Quel spectacle ! Je ne me lassais jamais de ladmirer,
tellement il était beau et bandant. Jétais incapable dattendre une minute de plus
pour prendre possession de sa chatte. Sans préliminaires. Il me fallait la tirer
immédiatement. A la hussarde ! Il me fallait lui montrer que jétais son maître ! Que
jallais la transformer en chienne consentante ! Que jallais en faire lesclave de
mon manche ! Mon esclave !
Je lui disais tout cela en dégrafant fébrilement le ceinturon de mon pantalon, en
ouvrant ma braguette et en sortant ma queue frémissante dimpatience et tendue comme
un sabre. Sans plus attendre, je positionnais le gland entre ses grandes lèvres et
dun coup de rein brutal, je la pénétrai jusquau fond de son vagin, en lui faisant
pousser un long cri de douleur, accompagné dun juron.
- Wedja3tni ! Bla3-qel ya kelb! (Tu mas fait mal ! Doucement espèce de chien !)
Depuis quelle est devenue ma maîtresse - en fait depuis seulement la veille - javais
découvert que Ghania adorait jurer et utiliser des mots crus et vulgaires parfois
même des insultes. Elle disait que cela aiguisait encore plus son excitation et lui
procurait des jouissances beaucoup plus intenses. Les mots et phrases vulgaires
quelle prononçait en accompagnement de nos ébats, métaient devenus aussi nécessaire
quà elle. Je ne me gênais pas non plus pour lui rendre la monnaie en la traitant moi
aussi de tous les noms doiseaux pendant que je pilonnais sa chatte ou son cul. Pour
moi, il sagissait surtout de la traiter de chienne, de pute ou de salope (Kelba !
3ataya ! Qahba !)
Le vagin de Ghania était encore très étroit. Malgré le fait que depuis son retour
hier - il avait déjà reçu plusieurs fois mon manche, il navait pas encore eu le temps
de lélargir. Celui de son mari qui lavait dépucelée et avait occupé lendroit
pendant tout un mois avant le mien, nétait pas assez gros pour avoir pu laisser des
traces indélébiles dans la place. Le vagin de ma belle nen était que plus
merveilleux : doux, chaud, humide et moulant parfaitement le manche qui allait et
venait en elle, limant furieusement les parois du tunnel. Et je lui faisais mal. Et
elle criait de douleur en minsultant, tout en mordonnant dy aller encore plus fort.
- Aie ! Aiiiiie ! Rak touwdja3 fiya ! Aiiiie ! Zid nik-ni ya tehhan ! Zid
ewdja3ni ! Zid dekhal zebek bezzour! Zid kessarli hatchouni! (Aie ! Aiiie ! Tu es
entrain de me faire mal ! Aiiie ! Continue de me niquer espèce de cocu ! Continue de
me faire mal ! Continue de me pénétrer en force ! Continue de me démolir la chatte !)
Ses cris devenaient de plus en plus incompréhensibles. Les phrases et les mots quelle
prononçait avaient du mal à aller au-delà de ses lèvres. Je sentais quelle était sur
le point davoir un immense orgasme. Elle poussa un long râle un
aaaaaaaahhhhhhhhhhhh, rauque et interminable - et déchargea en secrétant une tonne de
cyprine, qui se mit à couler à flots à lextérieur du vagin, chassée par les furieux
va-et-vient mon engin continuant imperturbablement à défoncer sa chatte ; sans
ménagement ! Moi-même, je sentais que je nallais pas tarder à exploser ! Jaccélérai
sensiblement le mouvement de va-et-vient de ma queue, qui produisait un bruyant et
indécent clapotis à lintérieur du vagin inondé. Et en ahanant comme un bucheron, je
lâchai au fond de son vagin un premier, puis un deuxième et un troisième jet de sperme
abondant, épais et brûlant. Le tout ressortait immédiatement, comme pompé vers
lextérieur par mon piston et allait sétaler par terre, en se mélangeant avec les
sécrétions de ma belle. Il me sembla que ce matin là javais produit et envoyé plus
dun litre de foutre dans le vagin de ma belle. Cela dura un long, très long, moment.
Je commençais à fatiguer. Et elle aussi.
Nous avions du mal à rester debout. Autant elle que moi, avions les jambes qui
flageolaient et avaient du mal à nous soutenir. Mais même comme cela, je ne voulais
pas sortir mon sexe de sa chatte. Je trouvais la solution en la soulevant, tout en
gardant mon manche, encore très en forme, dans son intimité et en allant massoir, à
reculons, sur le fauteuil directorial qui était derrière moi. Elle se retrouva assise
sur mes cuisses, me donnant le dos et la chatte empalée sur mon engin. Nous restâmes
quelques minutes dans cette position, sans bouger pour reprendre notre souffle. Elle
avait posé sa nuque au creux de mon épaule gauche et sa joue venait droite se frotter
tendrement contre ma joue gauche. Ce moment de béatitude dura longtemps. Il dura
jusquau moment où elle se mit à bouger circulairement ses hanches, pour reprendre le
frottement de ma queue, toujours aussi vigoureuse, sur les parois de sa chatte.
Dans cette position, elle avait du mal à faire ce quelle voulait : faire monter et
descendre son bassin, afin de faire aller et venir sa chatte le long de ma queue. Elle
navait pas assez de prise et moi jétais bloqué sous ses hanches. Elle se leva
brusquement, laissant mon manche palpitant à lair libre et, en me faisant face, elle
vint sassoir sur mes cuisses et refit pénétrer lengin dans sa chatte. Comme cela, il
lui était plus facile de faire monter et descendre ses hanches et provoquer un
miraculeux va-et-vient le long de ma verge, frémissante de désir. Elle se facilitait
la tâche en mattrapant par la nuque et en tirant sur ses bras. Cétait le paradis !
Elle montait et descendait avec un rythme de plus en plus rapide. Elle avait sa bouche
à quelques centimètres de la mienne et accompagnait chacun des allers-retours dun
bécot à la fois tendre et torride. Chaque fois quelle avait mon manche tout au fond
de son vagin, elle arrêtait le baiser quelle me donnait et poussait un gémissement
rauque qui exprimait tout le plaisir quelle prenait.
Et puis, après quelques minutes, je la sentis qui fatiguait. Je pris la relève en la
prenant par la taille, pour la soulever dune quinzaine de centimètres et la maintenir
dans cette position et pilonner moi-même sa chatte. Et jy allais avec force et
fureur. Elle était toujours accrochée à ma nuque et respirait avec de plus en plus de
difficulté. Je la sentais au bord de l. Jaccélérai le rythme du pilonnage
de sa chatte, avec comme objectif de déclencher un orgasme immédiat. Il arriva
quelques secondes plus tard, avec autant de force que tout à lheure. Jeus
limpression quelle avait perdu connaissance un moment, tellement son souffle était
devenu court et inaudible. Elle déchargea tout ce quelle avait produit comme jus sur
mes couilles et sur le fauteuil et saffala sur moi, la tête posée au creux de mon
épaule ; elle resta ainsi un très long moment avant démerger de sa torpeur et de
relever la tête pour me regarder et de menvoyer un merveilleux sourire de femme
heureuse.
/
Limagination de Ghania, en matière dérotisme, navait pas de limite. Elle voulait
tout connaître et tout vivre. Et parfois, il me semblait quelle allait trop loin et
quun jour il nous arriverait une tuile. Mais tant pis me dis-je. Elle est tellement
merveilleuse comme cela. Et puis, jétais sous le charme. Un moment, son fantasme
absolu, cétait de faire lamour avec moi, tout en appelant son mari au téléphone.
Elle lui faisait croire quelle était seule au bureau, quelle pensait à lui et
quelle était en chaleur. Quelle avait envie de faire lamour avec lui. Elle lui
susurrait quelle avait envie de tenir son zob et de le caresser ! de le sucer ! de le
faire jouir dans sa bouche ! Elle lui disait quelle voulait jouer avec son sperme !
Quelle voulait quil la mette enceinte ! De porter son !
Et Ali, qui tout comme moi, était devenu lesclave sexuel de sa femme, se laissait
entrainer par les paroles coquines de sa femme et entrait dans son jeu. Le pauvre ne
savait pas que les râles et les gémissements quelle poussait, en lui faisant croire
quelle branlait sa chatte, étaient le fruit du pilonnage de sa chatte par mon engin.
Et moi, qui au début avait peur quAli découvre le pot-aux-roses, je mefforçais de
retenir les gémissements de plaisir qui provenaient du fond de mes entrailles. Il ne
fallait pas que le mari entende les sons impudiques qui sortaient de ma bouche et ne
découvre quil y avait quelquun avec sa femme. Ghania adorait jouer comme cela avec
le feu. Et le plaisir quelle prenait nen était que plus intense. A chaque fois, elle
demeurait de très longues minutes, avec des milliers détoiles dans les yeux et sur
les lèvres un sourire de béatitude totale. Elle était heureuse ! Et cela se voyait !
Je finis même par croire, quelle voulait que son mari apprenne quil portait une
immense paire de cornes. Et à chaque fois, cétait moi qui insistais pour quelle
arrête de jouer à ce jeu malsain et surtout très dangereux pour nous deux. Mais rien
ny faisait : elle ne pouvait pas résister à lappel du plaisir intense que lui
procurait la voix de son mari au bout du fil, pendant quelle le cocufiait avec moi.
Elle finit même par aller plus loin dans cette voie. Une fois, elle le fit venir au
bureau en fin de journée, sous prétexte quil devait la récupérer pour lemmener à une
fête de mariage dune cousine. Il arriva vers dix-sept heures. Elle lavait accueilli
rapidement, avant de venir me rejoindre dans mon bureau. Elle lui avait croire, que
javais un travail urgent à terminer avec elle, elle devait lui assura-t-elle,
corriger avec moi un important document, et que cela ne durera pas plus dune demi-
heure. Elle le fit attendre au secrétariat, en compagnie de Soraya, pendant quelle
que je la tirai comme une chienne dans mon bureau. Ce jour là, il mavait semblé
quelle avait joui avec encore plus dintensité que dhabitude. Elle semblait vraiment
adorer ces moments où elle jouait avec le feu et était à deux doigts de provoquer la
catastrophe. Elle hurlait heureusement que mon bureau était capitonné et que nos
cris ne pouvaient pas sentendre du bureau dà côté et appelait son mari pour quil
vienne la voir prendre son pied sous les violents coups de mon manche ;
- Ali arouah et-chouffe martek i-nikha radjel en-ta3 essah ! Radjel li 3andou
zeb en-t3a hmar! Machi kima mergaza en-ta3ek ! Chouf kifach en-hab zebou ! Ezzeb !
Ezzeb kbir ! Ezzeb li yewdja3 ! (Ali viens voir ta femme qui se fait se tirer par un
homme véritable ! Un homme qui un zob dâne ! Pas comme ta merguez ! Regarde combien
jaime son zob ! Zob ! Un grand zob ! Un zob qui fait mal !)
Le pire cétait que moi aussi au moins cette fois où il était dans le bureau dà
côté javais pris un plaisir sadique à faire hurler sa femme, en la tirant avec plus
de violence et de brutalité que dhabitude, comme si jespérais quil entende tout et
quil débarque pour nous surprendre. Et, cette fois-là, javais poussé le sadisme,
jusquà venir en compagnie de Ghania qui avait remis de lordre dans sa tenue mais
avec des milliers détoiles dans les yeux pour le saluer et mexcuser davoir dû
garder sa femme aussi longtemps. Il me sourit gentiment et me tendit une main ferme et
chaleureuse, en me disant que ce nétait pas trop grave. Il me rassura même en
maffirmant, quil soutenait pleinement la carrière de sa femme. Elle navait pas
besoin de travailler, parce quil était assez riche pour subvenir à tous ses besoins,
mais comme elle voulait être économiquement libre et quelle aimait son travail, il ne
pouvait rien faire dautre que de la soutenir. Pauvre Ali ! Si tu savais !
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